Tu m'as dit "Si tu écrivais des billets d'humeur, je te suivrai" alors j'ai saisi la balle au bond !
En ces temps abstentionnistes, j'ai effectivement décidé qu'il était temps d'arrêter l'auto-censure et de se lancer dans la grande aventure du rédactionnel "internetionalisé". Pour l'amour des mots, le plaisir du commentaire, et l'envie soudaine mais non moins enfouie de partager mes avis.
Et c'est étrange mais j'ai le trac. 1er blog, 1er post, et si finalement rien ne venait.
Pourtant, je m'y prépare depuis un certains temps : je twitte, je travaille dans la com', j'utilise même wordpress et j'ai toujours adoré les rédacs...
Cela dit, il y a UN CERTAIN PAS ENTRE la classe de Mlle Drevet où nous devions décrire une nuit enfermée dans un supermarché (on n'y pense rarement, mais les énoncés de dissertations sont parfois aussi dissonnants que les problèmes matheux de baignoires à moitié pleine), ET la réalité du monde d'aujourd'hui, un monde complexe, ou le wifi et la 4G ont remplacé ce bon vieux bruit du modem wanadoo, objet initialement convoîté dans le supermarché de Mlle Drevet.
Est-ce que je serai à la hauteur de cette complexité, de ce monde si vite relié et si brièvement connecté ? Comment ne pas perdre la(des) plume(s) ?
Cela dit, en ce 31 mars 2014, comme l'idée principale de ce post est de ne pas/plus s'abstenir, je me dis allons-y, ne craignons pas la blogsphère et confrontons-nous aux idées, au clavier et à un possible devenir dans le cloud...
Donc, j'y vais, même pas peur.
Et finalement ce n'est pas si difficile, on a même presque envie d'y retourner.
Alors je me dis que je recommencerai, sans peur ni reproche, parce qu'on trouve toujours des choses à dire finalement.